En 1985, Le Salvador et le Front Farabundo Martí de libération nationale (« FMLN ») ont convenu de plusieurs « jours de répit » durant lesquels les hostilités ont cessé, pour faciliter l’accès des professionnels de santé aux enfants dans le cadre d’une campagne de vaccination. Dans ce contexte, le DIH a été respecté car les deux parties ont reconnu l’existence d’une grave crise sanitaire. Ceci a également été rendu possible grâce au soutien d’acteurs extérieurs et de représentants religieux.